Volcan Kong Shengqi

  • Poids : 3.6 kg
  • Dimensions : 115 × 115 × 105 cm
  • Année : 2017
  • Matériaux : Chêne
  • Signature : Signé
  • Tirages : Oeuvre unique

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OEUVRE

Les œuvres de Kong Shengqi, taillées dans du bois, tendre et clair, font émerger de la matière des créatures fantastiques et organiques, aux visages ronds et aux traits naïfs, parfois presque enfantins et parfois terrifiants.

Son amour évident pour la matière qu’est le bois et sa manière de le sculpter évoque particulièrement les arts des natifs du Nords de l’Amérique, que l’on peut trouver en Alaska où sur les terres Inuits du Canada.


ARTISTE

Jeune artiste Chinoise née à Pékin en 1989, Kong Shengqi a choisi de s’installer en France à partir de 2015 après avoir suivi des études d’architecture en Chine. Elle suit dans un premier temps un second cycle « option design d'espace » à l’Institut supérieur des arts de Toulouse avant d’entre à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris où elle obtient un DNSAP avec les félicitations du jury en 2018 et fera partie du jury d'admissions École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris l’année suivante. Elle est également lauréate du projet Beaux-Arts de Paris x Altarea en 2020 et du Projet Beaux-Arts de Paris x Moët Hennessy et du Prix Gide - Beaux-Arts de Paris en 2021. Elle vit et travaille aujourd’hui à Paris.

Les œuvres de Kong Shengqi, taillées dans du bois, tendre et clair, font émerger de la matière des créatures fantastiques et organiques, aux visages ronds et aux traits naïfs, parfois presque enfantins et parfois terrifiants.

Son amour évident pour la matière qu’est le bois et sa manière de le sculpter évoque particulièrement les arts des natifs du Nords de l’Amérique, que l’on peut trouver en Alaska où sur les terres Inuits du Canada.

Dans le reportage « projet » consacré à sa dernière exposition, Margaux Brugvinprécise que ses sculptures« sont pensées pour être utilisées dans des formes de rituels inventés. On regarde à travers la cavité d’un visage hurlant pour découvrir les fentes de deux yeux de l’autre côté de la sculpture. » Pour cette dernièreles sculptures de Kong Shengqi évoquent des objets sacrés, des divinités humaines ou animales sur lesquelles le visiteur est libre de projeter ses propres références et interprétations et qui viennent explorer« ses fascinations et ses terreurs d’enfants, le mystère de ce qui se passe à l’intérieur des  corps, À l’intérieur de chaque être vivant, les forces biologiques ou mystiques qui régissent chaque entité qui composent notre monde et dont on ne comprend que si peu de choses. »